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  • : une fenêtre sur l'activité du parti. Un moyen de connaitre l'actualité du LMD et de donner son avis dans le respect d'autrui ......... bien entendu
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18 avril 2013 4 18 /04 /avril /2013 06:52

 

 

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Résultat du sondage effectué par les Nouvelles Calédoniennes, le Mercredi 17 Avril 2013 et publié ce jour.

 

Question:

Simon Loueckhote parviendra-t-il à unir le camp loyaliste ?

  • 58%
    Oui
  • 39%
    Non
  • 3%
    Sans avis

659 personnes ont répondu à cette question.

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17 avril 2013 3 17 /04 /avril /2013 00:43

 

Après NC Première dans le JT du 15 avril, c'est au tour des Nouvelles Calédoniennes de ce mercredi 17 avril 2013 de parler de notre Président et d'une certaine initiative...

 

 

Politique. Il multiplie les rencontres, pour recoller les morceaux à droite


Loueckhote, sauveur de la droite ?

 

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A trois jours du congrès du Rassemblement, Pierre Frogier, qui souhaite rallier les forces de droite à sa cause, s’est trouvé un ambassadeur en la personne de Simon Loueckhote qui n’a pas son pareil pour manœuvrer entre les sensibilités.

 

Gaël Yanno cherche à constituer une entité suprapartisane. Pierre Frogier aussi, et c’est Simon Loueckhote qui est à la manoeuvre.

 

Après les déchirures à répétition, il semble que la saison des conciliabules soit lancée dans le camp non-indépendantiste. Depuis quelques semaines, tout le monde rencontre tout le monde (ou presque).


A trois jours du congrès du Rassemblement, on a vu passer Simon Loueckhote, Didier Leroux, Pascal Vittori, non loin de la permanence du Rump à Nouméa. Il se dit que des contacts ont été également pris avec Isabelle Lafleur et son RPC, ainsi qu’avec le Front national, Jean-Luc Régent, ex RPC, et même Stéphane Hénocque.

Objectif de ces conciliabules, ou de ces approches : tenter de recoller quelques morceaux à droite.

Et Simon Loueckhote semble occuper une place centrale dans cette opération.

 

Perspective. Pierre Frogier ne s’en est pas caché ces dernières semaines : le petit livre qu’il vient de publier (Notre Calédonie, terre de partage, terre de parole) entend tracer une perspective autour de laquelle il espère réunir une large partie du camp anti-indépendantiste en vue de 2014 et surtout en vue des cinq années suivantes.

 

L’opération est bien en marche. Son but serait, outre de fédérer, de mettre en avant une nouvelle génération de responsables politiques, et de faire de l’actuelle génération de leaders un groupe de tuteurs.

 

Bref de préparer le renouvellement des cadres.


Il y aurait également eu un contact entre Simon Loueckhote et le nouveau parti de Gaël Yanno. Mais chacun cherchant à constituer sa propre plateforme fédérative, les choses en sont restées là pour le moment. Du côté de Gaël Yanno, c’est plutôt avec Calédonie ensemble que l’on réfléchit à un éventuel rapprochement pré ou postélectoral.

En tout état de cause, la tâche n’est pas simple pour Simon Loueckhote. Certes, l’homme n’a plus à démontrer sa souplesse politique. Il est passé du Rassemblement au RPC avant de fonder le LMD. Il s’est allié avec l’Avenir ensemble aux provinciales de 2009, puis avec Calédonie ensemble aux législatives de 2012, avant de se retourner contre Philippe Gomès deux mois après. Ses alliances sont à géométrie variable, mais il n’a jamais dévié d’une conviction : combattre pour la Calédonie française.

 

Dialogue. Pour autant, il ne sera pas facile de convaincre les élus du FN que les deux drapeaux voulus par Pierre Frogier soient une vraie chance de dialogue pour les différentes communautés du pays. Il ne sera pas simple non plus d’en convaincre Jean-Luc Régent, ou Isabelle Lafleur dont le célèbre père avait sévèrement condamné la démarche. Mais chacun a pleinement conscience que, si elle reste dans son état actuel de morcellement, la droite locale a gros à perdre aux élections provinciales de 2014. Dans les petits partis, on sait très bien que faire cavalier seul serait synonyme d’échec et mat en bout de course. Et d’absence d’élus. Ce qui peut susciter quelques accommodements avec la doctrine. Et quelques discussions.
 

Ph.F.

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10 janvier 2013 4 10 /01 /janvier /2013 06:01

 

Lors des questions orales au Gouvernement de la Nouvelle-Calédonie du Mercredi 9 Janvier 2013, la question de notre Président, Simon LOUECKHOTE, a été retirée à la dernière minute.

 

Raisons:

 

Cette question portée sur l'utilisation, pour le moins équivoque, du dispositif de vidéo de retransmission des débats dans l'hémicycle de l'institution.

 

Suite à l'enregistrement de cette question par le secrétariat général du Congrès, ses services ont immédiatement réagi par la remise en ligne des débats sur la motion de censure et du budget primitif 2013, du 21 Décembre dernier.

 

Mais un problème de fond persiste, car aujourd'hui trois séquences sont disponibles sur www.congres.nc, rubrique ACTUALITES:

 

La première de 3 minutes 15 secondes avec un commentaire des débats.

la seconde de 11 minutes 20 secondes, qui est un montage des déclarations avec une certaine objectivité.

Et la troisième, qui est l'intégralité de la séance.

 

Comme la question n'a pas été posée, pour les raisons que nous avons évoquées, nous mettons cette question en ligne, dans un souci de communication.

 

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Simon LOUECKHOTE

 

 

 

Monsieur le Président,


Mes chers collègues,

Ma question s’adresse au Président du Gouvernement de la Nouvelle-Calédonie.

En juillet 2010, vous étiez alors Président du Congrès de la Nouvelle-Calédonie, vous avez inauguré devant la presse et les groupes politiques de notre assemblée le système vidéo de retransmission de nos séances sur internet.


Vous affirmiez alors, et je vous cite, « Les séances du Congrès en direct sur le net sont un plus pour le débat démocratique et la promotion des travaux de notre assemblée auprès des calédoniens. D’autant, ajoutiez-vous, que les séances seront ensuite archivées pour constituer une mémoire législative accessible à tous ».


Or, Monsieur le Président, il y a moins de quinze jours, le 21 décembre dernier, notre assemblée était réunie pour une première dans son histoire : l’examen d’une motion de censure déposée par l’un de ses groupes politiques. Pendant plus de 2 heures, vous avez ferraillé, à grand renfort de faits, de chiffres et de citations non-tronquées pour nous démontrer le bienfondé de la politique que nous soutenons, majoritairement dans cet hémicycle, nous l’avons dit et nous avons voté la confiance. Au cours de ce débat, des propos d’importance ont été tenus par nombre d’élus, qu’ils appartiennent à la mouvance indépendantiste ou non-indépendantiste.


Mais en dehors de quelques comptes-rendus dans la presse, parus d’ailleurs le même jour que le budget de la Nouvelle-Calédonie, la plupart des calédoniens sont peut-être passés à côté d’un débat, qui pourtant les concernait au premier chef, puisque c’est de leur vie quotidienne qu’il était question.


Et sur le site internet du Congrès : rien.

 

A ce jour, à cette heure, aucune archive vidéo  de nos débats du 21 décembre dernier.


La « mémoire législative accessible à tous » que vous vantiez tant et qui faisait notre fierté à flanché !


Alors, ma question est simple, Monsieur le Président :

 

Est-ce à votre demande que notre débat sur le rejet de la motion de censure a été occulté, pour ne pas dire censuré ?

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10 janvier 2013 4 10 /01 /janvier /2013 05:40

 

 

 

 

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                                                          Pascale DONIGUIAN

 

Question:

 

Monsieur le Président, chers collègues,

Cette question s'adresse à Monsieur Jean-Claude BRIAULT, membre du gouvernement en charge de l'Enseignement supérieur.

Rapportés dans l'un de nos hebdomadaires, ces propos qui m'ont été  également tenus par son auteur directeur de la maison de la NC à Paris m'ont récemment interpellé :

"Le grand enjeu de demain est d'essayer de connaître les autres étudiants non boursiers qui n'ont pas besoin de nous .nous essayons de les identifier car ils ne sont pas répertoriés.     Ceci afin de les sensibiliser en amont". Ces étudiants qui n'ont pas besoin de nous...

Les étudiants calédoniens sont aujourd'hui 2000 environ  à poursuivre actuellement leurs études en France. Sur ce nombre, seuls 400, parce que boursiers  (du Nord depuis 2010 et depuis 2011 du Sud) sont identifiés auprès  de la Maison de la Nouvelle-Calédonie à Paris.
Cadres à venir, les BTF comme les institutions ne communiquent pas ou par des données très parcellaires, voir pas de données du tout sur les coordonnées personnelles, géographiques et les filières d'études des calédoniens en France.

 

De ce fait, il est impossible de connaître précisément le potentiel humain en formation en dehors du pays qui est purement et simplement  l'avenir du pays que nous essayons de construire.

Il est aussi impossible de mettre en place une gestion prévisionnelle  des emplois et des compétences à la hauteur de l'engagement à l'égard de la formation, enjeu majeur de l'accord de Nouméa.

Cette ressource fait défaut à bien des entreprises qui investissent en NC et qui méconnaissant le vivier disponible à courte échéance de fait se tournent vers des ressources humaines extérieures.

Ma question est donc la suivante :

Dans la mesure où nous avons souhaité ces dernières années donner à la Maison de la Nouvelle Calédonie une configuration à la hauteur des enjeux du pays, ne serait il pas urgent désormais de mettre en place en son sein :

- un système de base de données qui engage chaque étudiant, aidé ou non aidé par la NC ou les Provinces à se faire connaître des son arrivée en France auprès de la MNC, ou
à procéder par exemple à un recensement en ligne qui pourrait être géré par notre représentation parisienne ?

- d'imaginer une sorte d'échange de bon procédé en lui remettant en échange de son inscription en ligne, une carte multi services étudiant dont les avantages seraient exclusifs et négociés par la MNC et seraient à retirer auprès d'elle ?

- puis enfin de créer un outil de pilotage de la jeunesse Calédonienne étudiante en France en lien avec les 3 provinces et le gouvernement pour créer des synergies efficaces et réactives aux nécessités économiques du pays ?



Je vous remercie de votre attention

 

Réponse apportée par

Mme Sonia Backès

 

 

Madame la conseillère

La traçabilité des étudiants calédoniens poursuivant leurs études en dehors delà NC est une problématique qui préoccupe les pouvoirs publics locaux de longue date.


Il serait, bien évidement très utile de savoir exactement combien d´ étudiants poursuivent un cursus supérieur à l'extérieur, à quel niveau, dans quelles matières et dans quelles perspective de retour l'étudiant en Nouvelle Calédonie.
Cependant pour ce faire, et avant toute chose, il convient de rappeler que la plus grande difficulté rencontrée résidé dans le fait de ne pas pouvoir obliger les étudiants non boursiers à se faire connaître auprès de la MNC à Paris, la Maison de l'Etudiant à Nouméa ou le gouvernement.

Il serait néanmoins tout à fait possible de créer un système basé sur le volontariat, en partenariat avec les provinces, la Maison de l'Etudiant, la MNC.


Ce serait en effet un premier pas vers un dispositif plus complet qui pourrait intégrer des avantages incitatifs.
Mais tout dispositif de cette nature devrait être aussi accompagné d'une campagne d'information et de sensibilisation à dit afin des étudiants, afin qu'ils comprennent l'utilité de s'y inscrire, à la fois pour être identifié comme étudiant calédonien et également en perspective d'emploi à leur sortie d'études.
On pourrait effectivement imaginer un système intégré où certaines informations pourraient être partagées avec des entreprises et des collectivités partenaires afin de pré identifié des profils intéressants, de disposer des informations relatives aux filières de formation suivies et des dates prévisionnelles de fin d'études.
Cela servirait de socle à l'outil de pilotage mentionné dans votre question et donnerait aux collectivités (voire même aux entreprises privées), une meilleure visibilité sur les compétences dont elles pourraient disposer à l'avenir.
Aussi je vous propose donc d'inscrire cette question à l'ordre du jour du prochain CA de la Maison de l'étudiant de la NC, et si l'ensemble des partenaires sont d’accord, de confier la mission d'élaboration de cet outil à la maison de l'étudiant en partenariat avec la MNC Paris.


De cette manière, nous associerions les forces des 2 structures inter collectivités ayant vocation à suivre et à améliorer la condition étudiante, à la fois en NC et en métropole et nous pourrions imaginer la mise en place de cette base de données et de suivi, avant la prochaine rentrée universitaire métropolitaine.

J'en profite pour saluer toutes les actions réalisées par la MNC pour les étudiants boursiers.
C'est une aide réelle et concrète aux étudiants pendant leurs études et dans toute action à leur arrivée en métropole.  Ils seraient donc bien souhaitables que tous les étudiants puissent bénéficier de cet accompagnement.

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21 décembre 2012 5 21 /12 /décembre /2012 07:24

 

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Déclaration de Simon LOUECKHOTE

lors du débat sur la motion de censure déposée

par les élus de Calédonie Ensemble

 

 

 

Monsieur le Président du Congrès,

Monsieur le Député,

Monsieur le Sénateur,

Monsieur le Président du Gouvernement,

Mesdames et Messieurs les membres du Gouvernement,

Mes chers collègues,

Mesdames et Messieurs,

 

 

« Un membre du Gouvernement, ça ferme sa gueule ou ça démissionne », c’est le titre qu’on aurait pu donner au feuilleton tourné route des Artifices depuis plusieurs mois et qui voit son apogée par le dépôt d’une motion de censure dont nous débattons aujourd’hui.


La saga n’avait que trop duré selon nos collègues de Calédonie Ensemble. Il convient de mettre un terme au Gouvernement MARTIN, aujourd’hui 21 Décembre 2012. Est-ce une pure coïncidence ou une vraie croyance dans la prophétie Mayas ?

 

Calédonie Ensemble a donc choisi la motion de censure, un des moyens que prévoit la Loi Organique statutaire pour mettre fin aux fonctions des membres du Gouvernement.

 

Pour la première fois de son histoire, notre assemblée est confrontée à cette procédure, certes nouvelle mais ô combien riche en enseignement.

Symbole de la fonction de contrôle exercé par le Congrès,        la motion de censure est une arme dont il dispose, lui donnant ainsi droit de vie ou de mort sur l’Exécutif.

 

Pourtant la démission collective d’une liste est un autre des moyens prévus par la Loi Organique statutaire. Elle aurait pu être utilisée par nos collègues. Elle a l'avantage de la simplicité, de la rapidité et de la clarté. Mais le risque de perdre un membre en cours de route existe potentiellement.

 

C’est pour cette raison que nos collègues ont choisi, la motion de censure. Et ce n’est pas par hasard, car cette médecine douce est très encadrée.

 

Pour son adoption, une majorité est nécessaire soit 28 voix. Dans le cas présent, nos collègues sont assurés que leur initiative n’aura aucune chance d’aboutir. Ils ne prennent donc pas beaucoup de risque sinon créer de la zizanie dans les autres groupes politiques comme ils l’ont clairement annoncé.

 

Ce n’est pas très glorieux.

 

Cette séance ne sera donc pas vécue comme toutes celles qui ont vu ici, tant et tant d'échanges, de joutes verbales, de coups de colère mais aussi de rires et parfois de satisfactions partagées.

 

Dans l’exposé des motifs, long de quatre pages, prélude à un programme de campagne électorale, nos collègues égrainent les griefs.

 

De la mise en œuvre de l’Accord de Nouméa, aux réformes économiques et sociales en passant par le respect de l’état de droit, tout y est passé. Je pourrai répondre à chacun des points soulevés par nos collègues mais ce serait trop long.

 

Permettez-moi seulement de rappeler, mes chers collègues, quelques vérités.

 

Je ne peux vous laisser dire que pour la première fois depuis 1999, les secteurs dévolus aux membres du gouvernement ont été imposés par la coalition aux autres membres de l’institution. Cette affirmation n’est que pure mensonge. Souvenez-vous, Monsieur le Député, en 2009, porté par la coalition d’alors et feu l’entente républicaine à la présidence du Gouvernement, vous aviez imposé à l’un de vos collègues des secteurs dont personne ne voulait et sans concertation avec lui. Votre serviteur hérita ainsi et sans piper mot, de la fonction publique et des retraites.

 

Vous accusez votre successeur d’engager régulièrement le Gouvernement sans le consulter mais je me souviens de quelques décisions que vous aviez prises sans que nous en ayons été préalablement informés. Le recrutement du Secrétaire Général du Gouvernement est un exemple parmi tant d’autres.

 

Vous dénoncez le manque de collégialité au sein du Gouvernement. Vous affirmez notamment qu’elle n’existe plus dans le fonctionnement courant de l’institution. Je ne crois pas, Monsieur le Député, que vous soyez le mieux placé pour en parler. Certains de vos collègues gardent un souvenir amer de la période où vous présidiez cette même institution.

 

Sur le respect de l’état de droit, vous oubliez très habilement la responsabilité due à la fonction du Président du Gouvernement dont vous avez si souvent usé voire abusé lors de votre présidence.

 

Ne pensez-vous pas enfin que pour engager les réformes économiques et sociales dont a besoin le pays, un peu de sérénité et de stabilité dans nos institutions donneraient de la lisibilité aux acteurs économiques et plus généralement aux Calédoniens ?

 

Monsieur le Président du Congrès, mes chers collègues, cette motion aurait eu tout son sens dans un mode de fonctionnement normal avec un Gouvernement normalement constitué.

 

Or le nôtre ne répond pas de ces critères et nous le savons tous.

 

D’ailleurs depuis 1999, combien de Gouvernement a tenu une législature complète ? Aucun.  Gouvernement LEQUES puis FROGIER, THEMEREAU puis MARTIN, GOMES puis MARTIN 1, MARTIN 2 et MARTIN 3, aucun  n’a fait cinq ans.  Tenir toute une législature relève d’un exploit que personne n’a encore pu réaliser et j’affirme ici que l’avènement d’un tel Gouvernement n’est pas pour demain.

 

Dans le cas présent, nos collègues nous demandent de sanctionner un Gouvernement auquel appartiennent trois des leurs, lesquels critiquent ses initiatives, l’empêchent de travailler, le raillent même. Ce qui n’est pas, vous en conviendrez, normal.

 

Je ne crois pas pour ma part que faire chuter le Gouvernement règlera le problème de fond.


Quel est-il ?

 

Une guerre de pouvoir, une bataille larvée entre des personnes qui se haïssent, qui sont prêts à tout pour conserver un brin d’un pouvoir désormais partagé.

 

Le vrai problème se situe dans la gouvernance même du pays et le LMD ne cesse de le dire.

 

Le LMD a eu l’occasion de l’évoquer avec le Ministre des Outre-Mer lors de son récent passage en Nouvelle-Calédonie.

 

Le Gouvernement collégial et son mode de fonctionnement voulu par les signataires de l’Accord de Nouméa a fait ses preuves. Il a montré ses limites. Il est temps de passer à une gouvernance plus responsable.

 

Au LMD, nous sommes convaincus que c’est une des clés au règlement du fonctionnement de l’Exécutif, un exécutif apaisé.

 

Pour toutes ces raisons, le LMD ne s’associera pas à cette initiative et votera donc contre la motion de censure.

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26 novembre 2012 1 26 /11 /novembre /2012 05:46

 

Depuis le démantèlement des cases par la Mairie de Nouméa à la Baie de la Moselle, les contestataires, sous la bannière du collectif "une tribu dans la ville", se sont installés sur le site du MWÂ KÂ, dénaturant le lieu.

 

Notre Président, Simon LOUECKHOTE, salue et demande à travers de courriers, aux Présidents du Sénat Coutumier et des Présidents des Conseils d'Aire, de règler ce problème qui n'honore pas la communauté Kanak.

 

Ci-joint les trois courriers envoyés ce Lundi 25 Novembre 2012 aux Présidents du Sénat Coutumier, du Conseil de l'Aire Drehu et du Conseil d'Aire Drubea-Kapumë :

 

 

Senat-Coutumier-copie-1.jpg

photo: arys.free.fr

 

 

Monsieur Luc WEMA,

Président du Sénat Coutumier

 

Porté par le Comité 150 ans, le MWÂ KÂ,  symbole de la revendication, de la reconnaissance et du devoir de mémoire des Kanak,  a trouvé sa place à la Baie de la Moselle.


Le parcours,  non dépourvu d’embuches, de ce monument du souvenir et du destin commun a trouvé son issue auprès de Jacques LAFLEUR, l’un des pères des accords de Paix, les Accords de Matignon.


Président du Rassemblement Pour la Calédonie dans la République, Député et Président de l’Assemblée de la Province Sud, profondément engagé pour la paix en Nouvelle-Calédonie, il avait proposé que l’œuvre des sculpteurs emmenés par Narcis DECOIRE, soit installée en ce lieu.


Homme de parole, il avait pris l’engagement devant Jean-Marie TJIBAOU et Michel ROCARD, Premier Ministre de la France, de participer  à leurs côtés et à sa manière à réduire et à combattre les inégalités dont sont victimes les Kanak.


Le Centre Culturel qui porte désormais le nom de son confident parti trop tôt, emporté par l’expression de la violence et du rejet de la main tendue, ne contribue-t-il pas à la mise en valeur de la culture Kanak ?


Du MWÂ KÂ, la Mairie de Nouméa, le Gouvernement de la Nouvelle-Calédonie et le Comité 150 ans,  en ont fait un espace clos, respecté, arboré dans le plus pur respect de nos traditions, à l’image de nos tribus, de nos vallées et de la communauté calédonienne en construction.


Mais, depuis l’enlèvement des cases, il est squatté. Des bâches bleues, des palettes de bois et autres matériaux y trônent désormais. De la fumée s’y dégage laissant penser que ses occupants actuels ne partiront pas de si tôt.


Comme beaucoup de Kanak et au-delà, les Calédoniens, j’exprime  aujourd’hui mon immense déception et ma tristesse de voir ce qu’est devenu cet espace. 

Aussi, je me permets de vous demander très solennellement, Monsieur le Président, de tout mettre en œuvre pour que le MWÂ KÂ retrouve son vrai visage.


Cette sculpture est représentative de toute la diversité culturelle du pays et les Kanak en sont désormais les gardiens.


L’Accord de Nouméa puis la loi organique vous a conféré des droits mais aussi des devoirs. Vous êtes désormais détenteur de l’autorité coutumière.


J’ai apprécié en cela, la fermeté avec laquelle vous avez condamné les agissements et le comportement des membres du collectif « une tribu dans la ville ».

 


Seule, une démarche respectueuse de nos traditions permettra à ce lieu de retrouver toute la sérénité et la quiétude auxquelles, il a droit.


Certain de votre écoute, je me tiens à votre disposition, si vous le souhaitez, pour qu’ensemble nous puissions évoquer toutes mesures susceptibles de contribuer à régler ce problème qui n’honore pas la communauté Kanak.


Dans l’attente, je vous prie de croire, Monsieur le Président, en l’expression de ma haute considération.

 

 

Simon LOUECKHOTE

 

 

 

MWÂ KÂ

Photo: signes-identitaires-nc.com

 

 

Monsieur Evanès BOULA,

Président du Conseil Coutumier de l'Aire Drehu,



    Porté par le Comité 150 ans, le MWÂ KÂ,  symbole de la revendication, de la reconnaissance et du devoir de mémoire des Kanak,  a trouvé sa place à la Baie de la Moselle.

Le parcours,  non dépourvu d’embuches, de ce monument du souvenir et du destin commun a trouvé son issue auprès de Jacques LAFLEUR, l’un des pères des accords de Paix, les Accords de Matignon.

Président du Rassemblement Pour la Calédonie dans la République, Député et Président de l’Assemblée de la Province Sud, profondément engagé pour la paix en Nouvelle-Calédonie, il avait proposé que l’œuvre des sculpteurs emmenés par Narcis DECOIRE, soit installée en ce lieu.
 
Homme de parole, il avait pris l’engagement devant Jean-Marie TJIBAOU et Michel ROCARD, Premier Ministre de la France, de participer  à leurs côtés et à sa manière à réduire et à combattre les inégalités dont sont victimes les Kanak.

Le Centre Culturel qui porte désormais le nom de son confident parti trop tôt, emporté par l’expression de la violence et du rejet de la main tendue, ne contribue-t-il pas à la mise en valeur de la culture Kanak?

Du MWÂ KÂ, la Mairie de Nouméa, le Gouvernement de la Nouvelle-Calédonie et le Comité 150 ans, ont fait un espace clos, respecté, arboré dans le plus pur respect de nos traditions, à l’image de nos tribus, de nos vallées et de la communauté calédonienne en construction.

Mais, depuis l’enlèvement des cases, il est squatté. Des bâches bleues, des palettes de bois et autres matériaux y trônent désormais. De la fumée s’y dégage laissant penser que ses occupants actuels ne partiront pas de si tôt.

Comme beaucoup de Kanak et au-delà, les Calédoniens, j’exprime  aujourd’hui mon immense déception et ma tristesse de voir ce qu’est devenu cet espace. 

 

Aussi, je me permets de vous demander très solennellement, Monsieur le Président, de tout mettre en œuvre pour que le MWÂ KÂ retrouve son vrai visage.

Cette sculpture est représentative de toute la diversité culturelle du pays et les Kanak en sont désormais les gardiens.

L’Accord de Nouméa puis la loi organique vous a conféré des droits mais aussi des devoirs. Vous êtes désormais dépositaire de l’autorité coutumière sur l’ensemble de l’aire Drehu.

J’ai apprécié en cela, la fermeté avec laquelle vous avez condamné les agissements et le comportement des membres du collectif « une tribu dans la ville » et l’initiative que vous avez prise de démonter la case de Lifou.

Seule, une démarche respectueuse de nos traditions permettra à ce lieu de retrouver toute la sérénité et la quiétude auxquelles, il a droit.

Certain de votre écoute, je me tiens à votre disposition, si vous le souhaitez, pour qu’ensemble nous puissions évoquer toutes mesures susceptibles de contribuer à régler ce problème qui n’honore pas la communauté Kanak.

Dans l’attente, je vous prie de croire, Monsieur le Président, en l’expression de ma haute considération.

 

Simon LOUECKHOTE 

 

 

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                             Photo: bugbitten.com

 

 

Monsieur Vincent KAMOIDJI,

Président du Conseil Coutumier de l'Aire Dubea-Kapumë,



    Porté par le Comité 150 ans, le MWÂ KÂ,  symbole de la revendication, de la reconnaissance et du devoir de mémoire des Kanak,  a trouvé sa place à la Baie de la Moselle.

Le parcours,  non dépourvu d’embuches, de ce monument du souvenir et du destin commun a trouvé son issue auprès de Jacques LAFLEUR, l’un des pères des accords de Paix, les Accords de Matignon.

Président du Rassemblement Pour la Calédonie dans la République, Député et Président de l’Assemblée de la Province Sud, profondément engagé pour la paix en Nouvelle-Calédonie, il avait proposé que l’œuvre des sculpteurs emmenés par Narcis DECOIRE, soit installée en ce lieu.
 
Homme de parole, il avait pris l’engagement devant Jean-Marie TJIBAOU et Michel ROCARD, Premier Ministre de la France, de participer  à leurs côtés et à sa manière à réduire et à combattre les inégalités dont sont victimes les Kanak.

Le Centre Culturel qui porte désormais le nom de son confident parti trop tôt, emporté par l’expression de la violence et du rejet de la main tendue, ne contribue-t-il pas à la mise en valeur de la culture Kanak?

Du MWÂ KÂ, la Mairie de Nouméa, le Gouvernement de la Nouvelle-Calédonie et le Comité 150 ans, ont fait un espace clos, respecté, arboré dans le plus pur respect de nos traditions, à l’image de nos tribus, de nos vallées et de la communauté calédonienne en construction.

Mais, depuis l’enlèvement des cases, il est squatté. Des bâches bleues, des palettes de bois et autres matériaux y trônent désormais. De la fumée s’y dégage laissant penser que ses occupants actuels ne partiront pas de si tôt.

Comme beaucoup de Kanak et au-delà, les Calédoniens, j’exprime  aujourd’hui mon immense déception et ma tristesse de voir ce qu’est devenu cet espace. 

Aussi, je me permets de vous demander très solennellement, Monsieur le Président, de tout mettre en œuvre pour que le MWÂ KÂ retrouve son vrai visage.

Cette sculpture est représentative de toute la diversité culturelle du pays et les Kanak en sont désormais les gardiens.

L’Accord de Nouméa puis la loi organique vous a conféré des droits mais aussi des devoirs. Vous êtes désormais dépositaire de l’autorité coutumière sur l’ensemble de l’aire Drubea-Kapumë.

J’ai apprécié en cela, la fermeté avec laquelle vous avez condamné les agissements et le comportement des membres du collectif « une tribu dans la ville » et l’initiative que vous avez prise de démonter la case du Sud.

Seule, une démarche respectueuse de nos traditions permettra à ce lieu de retrouver toute la sérénité et la quiétude auxquelles, il a droit.

Certain de votre écoute, je me tiens à votre disposition, si vous le souhaitez, pour qu’ensemble nous puissions évoquer toutes mesures susceptibles de contribuer à régler ce problème qui n’honore pas la communauté Kanak.

Dans l’attente, je vous prie de croire, Monsieur le Président, en l’expression de ma haute considération.

Simon LOUECKHOTE


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22 novembre 2012 4 22 /11 /novembre /2012 05:31

 

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Communiqué de presse

 

 

Institution née de la loi organique relative à la Nouvelle-Calédonie de 1999, le Sénat Coutumier revendique sa place dans les organes de consultations et d’échanges créés  par les signataires de l’Accord de Nouméa.

 

C’est ainsi qu’il s’offusque de n’avoir pas été rendu destinataire du rapport d’Anne DUTHILLEUL ou encore de ne pas être associé à la préparation du prochain Comité des Signataires et d’y être invité en tant qu’institution à part entière.


Si le LMD comprend cette revendication, il s’interroge cependant sur l’opportunité de satisfaire cette demande. Car de fait, le Sénat Coutumier participe déjà au Comité des Signataires. Son Président et ou parfois des Sénateurs coutumiers ont toujours été intégrés aux différentes délégations indépendantistes.  


Donc accepter la participation de l’institution coutumière reviendrait à rompre les équilibres au sein du Comité des Signataires.


 Le LMD constate que le Sénat Coutumier n’est plus l’institution prévue et voulue par l’Accord de Nouméa. De même, les Conseils  Coutumiers, autres institutions représentatives des Kanak ne s’inscrivent pas dans l’esprit et la lettre de l’Accord.


De part sa composition et notamment son mode de désignation, le Sénat Coutumier n’est pas une institution comme l’entend l’Accord de Nouméa.
Il s’inscrit et porte la revendication indépendantiste ce qui n’est pas son rôle et sa mission tel que défini par l’Accord.


Tous les Kanak ne sont pas indépendantistes. Les compétences du Sénat Coutumier, prévues par la loi organique ne sont pas exclusives des seuls Kanak indépendantistes.
S’il existe bien une autre catégorie de citoyen Calédonien, le Kanak, il n’existe pas de sous-citoyen Kanak que serait le non-indépendantiste.


Cependant, le LMD est favorable à une meilleure représentativité des institutions calédoniennes prévues par l’Accord de Nouméa.


Le LMD propose par conséquent que le Sénat Coutumier et le Conseil Economique et Social participent en tant que tel au Comité des Signataires ainsi qu’aux différents COPIL prévus par les signataires.


Le LMD rappelle que ces Comités n’ont pas vocation à décider en lieu et place des collectivités dont les compétences sont expressément prévues par la loi organique mais qu’associer ces deux institutions en amont au débat sur des questions hautement politiques et stratégiques facilitera ou éclairera d’autant, les débats dans les différentes assemblées.

 

 

Simon LOUECKHOTE

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21 novembre 2012 3 21 /11 /novembre /2012 05:09

 

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Communiqué de presse

diffusé à l'ensemble des médias ce jour,

Mercredi 21 Novembre 2012

 

 

A la veille de la première visite du Ministre des Outre-Mer en Nouvelle-Calédonie,  Le Mouvement de la Diversité (LMD) tient à rappeler sa position sur le transfert des compétences prévues à l’article 27 de la Loi Organique relative à la Nouvelle-Calédonie.


Si les conditions du transfert des compétences prévues à l’article 26 avaient pu porter à débat, le transfert de celles prévues à l’article 27 ne souffre d’aucune ambigüité. Leur  transfert demeure une faculté et non une obligation. Si et seulement si, 3/5 du Congrès soit 33 élus demandent par une résolution leur transfert, alors et seulement alors, les compétences pourront être transférées à la Nouvelle-Calédonie par une loi organique.


Le LMD rappelle d’ailleurs les termes de cet article 27 : 


Le congrès peut, à partir du début de son mandat commençant en 2009, adopter une résolution tendant à ce que lui soient transférées, par une loi organique ultérieure, les compétences suivantes :

- règles relatives à l'administration des provinces, des communes et de leurs établissements publics,

-contrôle de légalité des provinces, des communes et de leurs établissements publics, régime comptable et financier des collectivités publiques et de leurs établissements publics

- enseignement supérieur

- communication audiovisuelle.


Le LMD s’inquiète des conséquences de ces transferts.


Sur les règles relatives à l'administration et au contrôle de légalité des provinces, des communes et de leurs établissements publics, régime comptable et financier des collectivités publiques et de leurs établissements publics, le LMD s’interroge sur la capacité de la Nouvelle-Calédonie à exercer correctement et de façon impartiale ces compétences. Il rappelle que la définition des règles relatives à l’administration et au contrôle de légalité des collectivités publiques existantes, est du domaine de la loi votée par le Parlement et précisée ou complétée par des décrets pris en Conseil des Ministres. Toutes ces dispositions font l’objet du Code Général des Collectivités Locales qui s’applique à toutes les collectivités françaises avec certes quelques exceptions.



Sur les Communes qui deviendraient des Communes de Nouvelle-Calédonie, le LMD s’interroge sur l’extension du corps électoral gelé prévu pour les élections provinciales aux élections municipales.

Le LMD rappelle la bataille qu’a livrée son Président au Parlement contre la loi constitutionnelle qui prévoyait cette disposition inique sur une partie du territoire de la République.


Le LMD rappelle aussi les dérives récentes observées et condamnées, de fraudes électorales dans certaines communes et exprime ainsi sa plus grande inquiétude sur  celles à venir sans contrôle où les petits arrangements seront légions.


Sur l’enseignement supérieur, au moment de la mondialisation, le LMD craint l’isolement de la Nouvelle-Calédonie. La France n’a plus les moyens, ce n’est plus un secret pour personne. Cette filière d’enseignement va par conséquent de plus en plus en souffrir. L’Université de la Nouvelle-Calédonie n’y échappera donc pas. Sa position dans cette région du monde, loin de tout, ne favorisera pas son dynamisme en matière de  recherche mais aussi la curiosité et l’émancipation de nos étudiants-chercheurs.


Sur la communication audiovisuelle, le LMD a, par la voix de son Président, combattu et dénoncé au Parlement toute forme de verrouillage du paysage radiophonique qui s’impose aujourd’hui. La pauvreté voulue des moyens locaux d’information dont bénéficient les Calédoniens, ne milite pas en faveur du transfert de cette matière.


Enfin, le LMD rappelle le rôle du Congrès qui ne peut être réduit à une simple boîte d’enregistrement. Le Congrès est, depuis la Loi Organique relative à la Nouvelle-Calédonie de 1999, doté de la personnalité juridique. Il est un lieu de débat et qu’en aucune manière, il ne peut être condamné à suivre des décisions qui auraient pu être prises dans d’autres instances, si importantes soient elles.


Ce serait un déni de démocratie.

 
Le processus d’adoption de la loi constitutionnelle prévoyant le gel du corps électoral a souffert du manque de considération de certains pour la première institution du pays et avec lui, les élus qui le composent et les Calédoniens dont ils sont les légitimes représentants.


Pour toutes ces raisons, le LMD s’oppose à ce que les compétences prévues à l’article 27 soient transférées et que cette question si elle doit être évoquée pendant la visite du Ministre des Outre-Mer et au prochain Comité des Signataires, ne saurait engager le Congrès et encore moins les Calédoniens.



                            Simon LOUECKHOTE

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29 octobre 2012 1 29 /10 /octobre /2012 06:02

 

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Notre Président Simon LOUECKHOTE était l'invité de l'émission POUR ou CONTRE sur RRB du Vendredi 26 Octobre 2012.

 

Au menu de l'interview:

 

-Fonction Publique

-Menaces de CE sur le Gouvernement

 

Vous pouvez l'écouter ou la réécouter en utilisant le lien ci-dessous.

 

 

http://rrb.nc/index.php?option=com_content&view=article&id=166&Itemid=167

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11 septembre 2012 2 11 /09 /septembre /2012 07:41

 

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                                                             Photo: domtomnews.com

 

COMMUNIQUE du LMD

 

Charles PIDJOT dit Charly s’en est allé.


Les élus et les militants du Mouvement de la Diversité tiennent à saluer avec respect sa mémoire.


Homme aux convictions affirmées qui sont profondément ancrées dans l’héritage du plus vieux parti calédonien, Charles PIDJOT laisse derrière lui le souvenir d’un responsable au caractère bien trempé.


Signataire des Accords de Matignon-Oudinot et de Nouméa, Charles PIDJOT fut un négociateur affable mais ferme et sans concession.


Aux noms d’illustres prédécesseurs qui ont marqués la vie de la Nouvelle-Calédonie, s’ajoute désormais celui de Charles PIDJOT.


Le Mouvement de la Diversité adresse à son épouse, à ses enfants et sa famille l’expression de ses plus sincères condoléances.


Le Mouvement de la Diversité s’associe à la peine et à la douleur des nombreux militants indépendantistes et ceux de l’Union Calédonienne en particulier.

 


 Le Président

Simon LOUECKHOTE

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